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Les mots sont la voie du cœur,
Mon monde

Le cœur une voie pour les mots.

Mes ecrits...

.¤* Petite fleur *¤. [2]
C’est à cause d’elle que j’ai été troublé, si je vous écris avec cette émotion distincte, si elle a posé ça main sur la mienne et si tout c’est soudainement arrêté… Je ne peux vraiment pas m’exprimer ce soir, je suis profondément attristé, apeuré par le futur.

Si présent dans ma tête, elle reste comme une armure contre le vent du gouffre et la blessure souriant au raille du métro. J’ai pas choisit de vivre sans elle, ni elle sans moi. Quand elle est partie, le goût amer a saigné mon bras, forgé ma tête, crispé mes lèvres. La pâleur de son corps sur ce lit, elle à froid, et comme impuissant je l’ai laissé partir perpétuellement comme une fleur à son rêve. Fiévreuse a elle-même, sans pareil elle niait les conséquences et voulait voler en silence… quand elle c’est adonné, adonné à la vie… A l’écouter tout semblaient si fragile, elle était la seule à sourire quand l’angoisse la prenait, quand la mélancolie l’enivrait.

 

Tout a commencer le jour ou j’ai posé les yeux sur elle… les yeux dans un océan noir brillant de solitude. Elle, rêveuse laissa s’échappé du vide ou une multitude de pensées, souvent la tête dans ces genoux elle s’éclipsais l’espace d’une cour de recrée, l’espace de deux sonneries. A ce demandé ou elle était vraiment, entre deux monde certainement. Si jolie, attentionné elle donnait des couleurs aux murs grisâtres du palier. On lui accordait que peu de chose et pourtant, la sachant faible les garçons non fait qu’une altercation. Confronté à un mur de glace et sans émotion, ils sans sont finalement allée. Elle n’avait rien demandé, et moi qui m’étouffais à les voir s’agités devant elle comme des pantins. Elle était différente peu de fille s’attardais sur elle de peur d’être rejeté, de peur d’être jugé.

 

Je me souviens du premier regard, absorbé par l’évidence. Elle était habillé sobrement, et se tenais timidement, toujours à l’écart. Elle calculait chacun de ses gestes souvent au poins dans devenir maladroite. Elle parlait très peu et si elle le faisait elle réfléchissait à dix  fois et ne s’attardait jamais trop sur elle… Sur une courte allé, elle chantait en silence, elle dansait ses mots sur le papier, elle esquissais des bouts de ci, des bouts de ça avec élégance... le sport tout comme les mémorables traquas futiles des filles sur le plus beau garçon lui pesait, lui passais comme un nuage soufflé par le vent… Le monde la piétinait, et ses petites épaules paraissaient si lourdes… Les gens prenais plaisir a parlé dans son dos, la différence fait peur… Quand à elle, elle ne demandait qu’à vivre dans le bonheur.

 

Elle ne me connaissait pas, j’étais qu’une pétale légère dans son jardin de solitude. Je passais souvent comme un mirage. Mon regard ne l’atteignait, il était comme un rayon à l’horizon s’évaporant dans la non existence. J’aurais aimé lui dire simplement… mais je suis trop timide, trop… Le temps passais, piqué par mes regrets, j’ai du faire preuve de délicatesse et abordé cette fleur pris par les ronces de sa vie, pris par l’existence qui nous séparent, qui nous unit.

Ecrit par Le-Veilleur, le Samedi 16 Avril 2005, 22:51 dans la rubrique "¤ Ombres ¤ ".


Réactions :

  Anonyme
17-04-05
à 00:13

Très joli texte...très joli joueb...je suis surprise de ne pas l'avoir vu avant...

  Le-Veilleur
07-05-05
à 12:10

... Merci ...

  Anonyme
20-06-06
à 11:47

je suis tombée par hasard sur ton texte. voilà vraiment un texte très beau et très touchant. juste un petit défaut au niveau des fautes d'ortographe, mais j'aime beaucoup cet écrit très triste qui me touche particulièrement...