Parce que le ciel atteint l’âme, le son a atteint ma raison je suis ni bien ni mal juste désespérément vide. Parce que le monde tourne autour d’un noir brillant que le soleil perpétue le couchant, l’ambiance mélancolique des gyrophares sonnent et résonnent dans mon inconscient. J’air sans fin au milieux d’un monde qui n’est pas le mien. Je scionne toujours les rempares de la vérité, la réflexion m’atteint jusqu’au bout des doits quand je me ronge…

Que dire de plus, je vie de moins en moins bien ma solitude. Elle me pèse me rend vide de force, j’ai du mal et quand je repense à la période de m’a vie ou tout allais bien, je m’acceptait tel que j’étais, le souvenir qui est la bouffé de chaleur quand je me sent trop honteux, ou trop désespéré. Je lit des livres ou prime la dignité, l’honneur et la fierté… Ne pas laissé au autre la possibilité de voir une seule de nos faiblesses, c’est une chose extrêmement dure. Je suis trop faible ce soir, trop honteux pour continuer à écrire, je m’en retourne au chagrin sous ma couette.

J’attise se feu qui sans cesse m’écorche, me brûle les veines, quand je me sent trop seul, quand je me sent trop rien, parfois il jaillit de ma plume et vomis mes maux sur le papier, j’étouffe et saigne d’un noir brillant les torpeurs qui pullule dans ma tête me rendant lasse et fade au yeux des gens. J’ai qu’as crié, seulement crié à tous, ma solitude pour que l’on m’accorde un regard…

Mais qu’es que je dis là, je suis fort moi j’ai rampé sous des barrières de métal, je me suis incliné face a la hiérarchie, j’ai traité de nombreuses pages, effleurés de nombreux visages, j’ai fait place à la franchise, je me suis retenu en pansant au conséquence, j’ai culminé des points au-delà de l’espérance et pour une simple absence je me tourmente a m’arraché le cœur, a ne plus trouvé l’oxygène de mes rêves la nuit, ou la plénitude des sourires le jour. Qu’est qui m’arrive pourquoi je vais contre ce que j’ai pu dire ou vivre ? Résonnez moi, réveillez moi…