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Les mots sont la voie du cœur,
Mon monde

Le cœur une voie pour les mots.

Plume sensible.
Le-Veilleur :
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Mes ecrits...

Dimanche (27/05/07)
…Meurtri…
J’ai peur, ce soir comme certain soir je pleur des larmes de sang. Ecroulé par le poids d’une existence incomprise, j’air infiniment avec une couche de sourires, de pleurs et de rires. Je garde un peu de temps pour écrire ma dérision, essoufflée par les poings et ma ponctuation.


L’encre coule et mon bras ruisselle. La plume se mêle à l’âme et le vent me réclame. Mais tu airs infiniment avec une couche de sourires, de pleurs et de rires. Tu gardes jalousement, l’éclipse d’une réflexion, fatiguée par les cendres et ta fulmination.


L’existence morose, telle une petite chandelle, se consume et s’emmêle aux idées post mortem. Et danse en prose, sa flamme noire qui guide nos rêveries vers cette idée d’infinie. Et sème immobile son obscure clarté.


L’espérance, comme la rose ne dure longtemps, elle se voit fleurir par cause et se flétrir du temps. C’est un équilibre fragile qu’elle sait rallumée, lorsque mes nuits sont en péril et mon cœur éreinté. Petit fleur fragile puises-tu me préserver.
Ecrit par Le-Veilleur, à 02:16 dans la rubrique "¤ Ombres ¤ ".
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Lundi (29/05/06)
°~¤ Spleen ¤~°
Volatile, je perds pied et d'inspiration dégradante, je broie du noir. Je pleure et enchevêtre mes pensées dans l'écume de mes cauchemars. Dans tes ébats je me perds et ton humeur lunatique me rend fragile, comme perieux d’un combat sans raison. Je m'esquinte et crache sur ma vie. Triste et égaré, Je suis l'humeur morose qui respire le parfum d'une rose.

Dans le carambolage de ton amour et de l'adversité, je suis cette tôle froissée. Quand tu part et me laisse au bort de cette route, tu coures mouchoir à la main, et tu plaides la réconciliation devant cette guerre quotidienne qui consume nos êtres tout entiers.

Au  royaume de notre amour, je suis cette ombre qui cour après tes pas. Je reste immobile, fatigué et me remémore ces instants de beauté ou tout deux enlacés nous aspirions à des rêves égarés.

Sur cette routes tu m’as laissé sans même me dire au revoir, sans même un baisé, juste tes mots en guise d’amour. Et des photos qui on fini par m’immerger dans cette solitude ou je ne vois plus que toi.

Sur cette route je suis resté avec l’esprit ferme, l’espoir incertain. Et marchant sur son cotée, j’ai fini par lui livrer ma main.

Frappé par l’irrésistible envie de m’envoler, je soupire et respire pour toi pour moi, à demain.


Ecrit par Le-Veilleur, à 20:11 dans la rubrique "¤ Ombres ¤ ".
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Jeudi (04/05/06)
°~¤ ... ¤~°
Toi qui coules dans mes veines tu me brûles et je t’aime. Toi qui coules dans mes veines tu me brûles et je saigne.
Ecrit par Le-Veilleur, à 18:06 dans la rubrique "¤ Lumières ¤ ".
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Mercredi (03/05/06)
°~¤ ... ¤~°

Fatigué et morose, je me sens si mal, et piqué par cette rose, je m’enflamme et me meurt. Quand elle m’ignore et se laisse séduire par tous ses loups. Je les mettrais bien à genoux et arracherais leurs envies, comme ils m’écœurent de jalousie.

Ecrit par Le-Veilleur, à 01:10 dans la rubrique "¤ Ombres ¤ ".
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Vendredi (15/07/05)
°~¤ ... ¤~°

Il sais le temps s’égoutte et chaque goutte de vie lui verse une larme… Sur les hauts plateaux, au creux de tes mains ou dans tes mots, ta présence reste universelle… Il sait et puis si fragile, il l’embrasse, il l’embrasse et futile il s’enfui ce beau rêveur aux idées froides, se beau rêveur un peu trop fade. Il sais le temps s’égoutte et chaque goutte de lui, lui verse une larme… Et meurt, meurt un peu plus les idéaux de son enfance. Une innocence évoquant l’amour, une absence de tout les jours… Il sais le temps s’égoutte et chaque goutte de vie lui verse une larme… Il survie dans l’ombre, l’homme secret au bort des flammes.

Ecrit par Le-Veilleur, à 21:16 dans la rubrique "¤ Ombres ¤ ".
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Mardi (07/06/05)
.¤* Aveugle et sourd *¤.

Parce que le soleil c’est éteint sous mes yeux une fois de plus. Parce que j’ai vue des familles pleurées… Des gens en arrêts, un bébé convulsé. Parce que si je m’allonge sur la route les gens attendrons que je me face écrasé pour bouger. Parce que ce soir comme chaque soir, je suis vide d’émotion, vide de sentiments. Parce que j’ai vue mon ami avec un flingue sur la tempe, et d’autre déprimer. Et puis il y a tout ce que l’on raconte…

 

Et j’ai encore rien vue. Parce que je croix pas à l’unité et je ne croix pas que l’on puisse changer tout ce que l’on détruit. Parce qu’il faut être gradé pour parler. Parce que l’on perd notre innocence et que j’ai perdu mes rêves d’enfant.


Désoler toi qui m’aimes, je ne veux plus vivre en prison. Aujourd’hui tout est différent. Tu sais se que j’aime, danser jusqu'à ne plus sentir le goût de mes larmes, l’ardeur de ma fatigue. Se que j’aime c’est me sentir tomber dans la non-existence, faire qu'un avec moi-même. Laisser l'adrénaline monter quand je prends des risques, quand je suis concentré dans mon sport ou sur une intervention. Laisser les gouttelettes de sueurs couvrir mon corps. Tu sais se que j’aime c’est des plaisirs simples, une présence, des silences, un corps contre un autre, un mariage d’affection et puis peut être de l’amour. Partir de Zéro, repartir…

Parce que la vie nous apprend à marcher sur un fil, il fini toujours par ce briser. Comme on écrit une histoire sur une feuille blanche, je réécris ma vie sur un passé oublié. Parce que je suis seul superficiel et comme un autre. Parce que je ne vie pas ma vie sans le besoin d’autrui...  je suis dépendant, comme un fumeur stressé, comme un toxico perdu sans sa dose d’héro. Parce que j’aime pas les aux revoirs on fra comme si ça n’en étaient pas un.

Le Veilleur

 


Ecrit par Le-Veilleur, à 16:28 dans la rubrique "¤ Lumières ¤ ".
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Samedi (07/05/05)
.¤* Un peu d’oxygène *¤.
Pardonne moi mais je suis vraiment sur les nerfs, je suis perdu, j’ai plus d’amour, j’ai plus que de la haine noircissant mon cœur mon âme et mon cerveau… Je suis complice de cette êta je suis complice de la haine qui monte en moi. J’en peux plus, j’ai envie de taper sur tout ce qui bouge, sur tout les murs, et défier ma raison, mon indifférence… Tu croix que c’est une vie ? Je croix que j’ai besoin d’une bonne dose d’adrénaline la sentir monter… crisper mon corps tout entier, éloigner un temps mon esprit… Envolé…

Alors je saute dans le vide, j’ai besoin de vous mais vous êtes absent, j’ai besoin de vous et vous n’étés pas la.

Je pleur seul, comme je dort seul dans mon univers, c’est ce que je vous explique dans chaque vers… On ne me répond pas, on m’évite même parfois. Tout est éphémère alors je crains plus rien, je crains plus rien… 

Ecrit par Le-Veilleur, à 15:47 dans la rubrique "¤ Lumières ¤ ".
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Mercredi (27/04/05)
.¤* Protège moi *¤.

La caresse de ses larmes sur mon épaule… De long silence inaccomplie… Et cette faiblesse qui nous unie. J’aimerais te dire… et puis c’est notre histoire que l’on tente d’écrire. Il y a des jours où me prendrait l’envie de tout quitter. Des jours où le doute est constant, j’aimerais encore une fois embrasser le ciel et te décrocher une étoile, pour te voir de nouveau sourire. Je tremble ce soir, je tremble et j’ai peur chaque moment de te perdre un peu plus. Je suis pas sans savoir que nous deux ça serra difficile, mais la fleur de nos cœurs serra distinguer la légèreté de nos présences au long chemin qui nous sépare. Je suis pas sans savoir que tu es mon début et peut être ma fin, je suis pas sans savoir que se projeter serrais trop croire. Et anéantirais l’illusion d’un pas pour demain. Je suis constamment a tes coté comme se soldat éperdument éreinté… Attendant le doux baisé qui viendrait l’emporter. Je n’ai pas connu l’univers de la plénitude ou si peu, j’aimerai le vivre pleinement, le vivre maintenant, vivre ça à l’instant. Si je t’ouvres mon cœur c’est pas pour paraître, ni pour...


J’aime savoir cette fleur entre rêve et réaliter, lire en elle comme un livre ouvert, déchiffrer le sens de ça vie, l’espoir qui nous allie. J’aime la voir étreindre ses sentiments dans les prouesses de son cœur, les tremblements de sa main. Et qui sais c’est peut être la fille qui rêve pour moi. Je crains le ciel autant que je crains la vie, je prends soin d’elle autant que j’estime la mort car c’est eux qui m’aide à vivre plus fort.

Toi-même tu sais se qu’on obtiens avec un sourire. J’aurais pu flirter avec ta chanson écrire à l’unisson, et m’emporter dans le déluge de nos existence morose, mais je préfère écrire en rose. A quoi bon s’éterniser, la mélancolie nous tien elle est si belle dans nos yeux, si prenante dans nos cœurs… C’est juste un message sans importance, sans élégance. Excuse mon interprétation, excuse mes interrogations, je suis pas sans savoir que nous deux il faut y croire.

Ecrit par Le-Veilleur, à 16:45 dans la rubrique "¤ Lumières ¤ ".
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Samedi (16/04/05)
.¤* Petite fleur *¤. [2]
C’est à cause d’elle que j’ai été troublé, si je vous écris avec cette émotion distincte, si elle a posé ça main sur la mienne et si tout c’est soudainement arrêté… Je ne peux vraiment pas m’exprimer ce soir, je suis profondément attristé, apeuré par le futur.

Si présent dans ma tête, elle reste comme une armure contre le vent du gouffre et la blessure souriant au raille du métro. J’ai pas choisit de vivre sans elle, ni elle sans moi. Quand elle est partie, le goût amer a saigné mon bras, forgé ma tête, crispé mes lèvres. La pâleur de son corps sur ce lit, elle à froid, et comme impuissant je l’ai laissé partir perpétuellement comme une fleur à son rêve. Fiévreuse a elle-même, sans pareil elle niait les conséquences et voulait voler en silence… quand elle c’est adonné, adonné à la vie… A l’écouter tout semblaient si fragile, elle était la seule à sourire quand l’angoisse la prenait, quand la mélancolie l’enivrait.

 

Tout a commencer le jour ou j’ai posé les yeux sur elle… les yeux dans un océan noir brillant de solitude. Elle, rêveuse laissa s’échappé du vide ou une multitude de pensées, souvent la tête dans ces genoux elle s’éclipsais l’espace d’une cour de recrée, l’espace de deux sonneries. A ce demandé ou elle était vraiment, entre deux monde certainement. Si jolie, attentionné elle donnait des couleurs aux murs grisâtres du palier. On lui accordait que peu de chose et pourtant, la sachant faible les garçons non fait qu’une altercation. Confronté à un mur de glace et sans émotion, ils sans sont finalement allée. Elle n’avait rien demandé, et moi qui m’étouffais à les voir s’agités devant elle comme des pantins. Elle était différente peu de fille s’attardais sur elle de peur d’être rejeté, de peur d’être jugé.

 

Je me souviens du premier regard, absorbé par l’évidence. Elle était habillé sobrement, et se tenais timidement, toujours à l’écart. Elle calculait chacun de ses gestes souvent au poins dans devenir maladroite. Elle parlait très peu et si elle le faisait elle réfléchissait à dix  fois et ne s’attardait jamais trop sur elle… Sur une courte allé, elle chantait en silence, elle dansait ses mots sur le papier, elle esquissais des bouts de ci, des bouts de ça avec élégance... le sport tout comme les mémorables traquas futiles des filles sur le plus beau garçon lui pesait, lui passais comme un nuage soufflé par le vent… Le monde la piétinait, et ses petites épaules paraissaient si lourdes… Les gens prenais plaisir a parlé dans son dos, la différence fait peur… Quand à elle, elle ne demandait qu’à vivre dans le bonheur.

 

Elle ne me connaissait pas, j’étais qu’une pétale légère dans son jardin de solitude. Je passais souvent comme un mirage. Mon regard ne l’atteignait, il était comme un rayon à l’horizon s’évaporant dans la non existence. J’aurais aimé lui dire simplement… mais je suis trop timide, trop… Le temps passais, piqué par mes regrets, j’ai du faire preuve de délicatesse et abordé cette fleur pris par les ronces de sa vie, pris par l’existence qui nous séparent, qui nous unit.

Ecrit par Le-Veilleur, à 22:51 dans la rubrique "¤ Ombres ¤ ".
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Vendredi (15/04/05)
.¤* L’incendie Prémédité *¤.

Somnolent je tire seul ses tuyaux enchevêtrés par mes idéaux. A l’instant je suspend le temps, je regarde mes collègues s’agités, je suis seul en contemplation, pensant à ce que serra ma vie. Je sens d’ici les flammes m’embrassées, la chaleur est étouffante dans les couloirs de mon passé. L’eau s’évapore comme mes regrets devant la fin… Et si la lance est ma protection, si la lance est se fil qui couvre ses deux monde. Je suis près a la lâcher et tenté ma chance… Une vie de plus, une guerre contre l’essoufflement, une guerre contre les brûlures qui refroidisse mes ardeurs et motive mon être tout entier. La vie est un long combat comme l’amour, du premier pas, aux dernières lueurs. J’avance dans l’ombre de ses pas, j’avance et c’est elle que je vois… Concentré ou pas, les murs noir s’efface dans l’épaisse fumée grisâtre, plus que quelque pas et je la tien, elle est allongé, une petite fille asphyxié par la vie. L’explosion puis le flou est totale je ne distingue plus mes mains, je ne distingue plus rien, mon bip sonne et mon pouls file, elle s’étreigne tout contre moi, elle s’éteint sous ma vois…  Comme dans un désert de solitude j’appel de l’aide. Je ne peux plus marcher je sent mes paupières se fermer… *



 

Ecrit par Le-Veilleur, à 17:11 dans la rubrique "¤ Lumières ¤ ".
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